Nos productions multimédias
« Si c’est là, c’est ici » – Série vidéo
La série « Si c’est là, c’est ici » contient des témoignages de quatre personnes qui ont vécu des crimes de génocide ou des crimes contre l’humanité et qui ont développé une façon personnelle d’aborder ces crises. En 4 épisodes, chacun avec son propre thème, ces récits posent les causes et conséquences de ces violences de masse au Rwanda, au Burundi et au Cambodge. Les personnes interrogées relatent la manière exemplaire dont elles ont vécu l’horreur et y ont fait résisté.
« Pourquoi est-ce important de se souvenir des crimes internationaux ? »
L’éducation à la mémoire permet d’apporter des clefs de compréhension pour tenter de les prévenir mais aussi de rappeler les principes d’humanité que ces crimes bafouent. L’éducation à la mémoire participe ainsi à la construction d’une citoyenneté plus vigilante et active face aux engrenages de la violence.
« Si c’est là, c’est ici » – Série radiophonique
Série radiophonique « Si c’est là, c’est ici » : 11 portraits porteurs de valeur de justice, réalisée par Pascaline Adamantidis.
Pour en savoir plus, cliquez ici.
Ci-dessous vous trouveriez une biographie et un extrait d’environ 25 min du récit de chaque témoin.
- Laurien Ntezimana, « Vivre à l’endroit »
- Marie-Louise Sibazuri, « Vivre, c’est conter »
- Jean Bofane, « Vivre, c’est écrire »
- Marie Goretti Mukakalisa, « Vivre en liberté »
- Antoine Kaburahe, « Vivre, c’est transmettre »
- Pétronille Vaweka, « Vivre, c’est oser »
- Gasana Ndoba, « Vivre, c’est se battre »
- Pie Ntakarutimana, « Vivre debout »
- Jasmina Musabegovic, « Vivre en cercle »
- Thong Hoeung Ong, « Vivre, c’est comprendre »
- Pierre Vincke, « Vivre, c’est douter »
- Histoire à Onze Voix « Vivre, c’est dire »
« De la justice à la mémoire… Expériences de RCN J&D en Belgique »
« De la justice à la mémoire » retrace l’histoire de l’action de RCN J&D en Belgique à travers la voix de ceux qui l’on fait exister et son positionnement progressif dans le secteur de la mémoire.
Ce retour sur l’expérience singulière de l’organisation permet aussi d’éclairer les liens qui unissent le travail de mémoire et de justice ainsi que les enjeux du travail de mémoire pour les diasporas meurtries par des crimes internationaux.